6 fausses croyances qui vous empêchent de passer à l'action
J’aimerais m’adresser aujourd’hui à tous les séducteurs qui ont déjà franchi le pas de l’approche directe (et aux curieux).
Vous vous êtes certainement déjà retrouvés dans la situation où vous croisez une femme qui vous plaisait, mais où une petite voix dans votre tête vous a empêché d’y aller et de passer à l’action.
En réalité, cette « petite voix » ou ce « sentiment » que vous pouvez ressentir, qui dans certains cas agit comme un boulet au pied vous empêchant d’atteindre vos objectifs séduction, est très souvent le résultat direct de fausses croyances que vous avez en ce qui concerne l’approche directe.
Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de ces fausses croyances afin que :
- Vous puissiez les identifier par vous-même lors de vos prochaines rencontres.
- Vous soyez capable de les outrepasser, au fur et à mesure que vous gagnez en confiance en vous.
Sommaire
Fausse croyance 1 : elle est trop jolie, et doit se faire constamment aborder, je n’ai aucune chance.
C’est l’une des croyances qui est la plus répandue chez les hommes : ils considèrent à tord que parce qu’une femme est particulièrement jolie, qu’elle doit forcément se faire constamment aborder 30 fois par jour, et que cela réduit mécaniquement leurs chances d’obtenir un retour positif s’ils daignent l’approcher.
C’est exactement le contraire qui est vrai : les femmes jolies ne se font que très (très) rarement aborder pour cette même raison.
Alors oui, elles se font certainement régulièrement alpaguer par quelques gros lourds, mais il ne faut pas confondre ces immondices, avec une approche directe propre, sincère, honnête, par un homme à la fois charismatique et élégant.
Croyez-moi, une jolie femme sera plus flattée par votre approche directe que n’importe quelle autre femme ayant moins d’atouts, si cette dernière est sincère, et de bonne volonté. Surtout si vous faîtes particulièrement attention (tout comme elle) à vos mots, votre langage du corps, et à votre apparence.
Je ne compte plus le nombre de très belles femmes m’ayant confié qu’elles n’avaient pas l’habitude d’être abordées par un homme direct et sincère dans sa démarche, et surtout qui ne la met pas sur un piédestal.
Par pitié, faîtes-vous confiance, et ne vous donnez plus cette excuse.
Fausse croyance 2 : elle a l’air fermée, tire la tronche, et va surement m’envoyer balader.
Avoir l’air fermée ne signifie pas qu’elle est effectivement fermée.
Là encore, par expérience, j’ai eu l’occasion d’avoir de nombreux succès lors de mes approches alors que les femmes semblaient de prime abord fermées à toute approche.
J’ai même le souvenir d’une très belle femme que j’avais croisé en rentrant du travail, qui non seulement avait les trais du visage « sévères » par nature, mais en plus a été très méfiante alors même que je suis allé la saluer pour lui dire que je la trouvais élégante !
Elle m’avait clairement dit à ce moment là qu’on ne connaissait pas, et qu’elle trouvait ça vraiment bizarre que je vienne la voir (tout adoptant une posture très fermée).
Dans ces moments là, il faut surtout ne pas réagir à chaud.
J’ai le plus simplement du monde dit la chose suivante, toujours avec le sourire :
« Tu sembles assez pressée, mais je tenais quand même à venir te voir ! Je te propose que nous nous échangions nos numéros, et qu’à l’occasion nous allions prendre un café ? »
Elle a refusé, toujours très fermée, mais m’a proposé plutôt de prendre le mien (plutôt mauvais signe, 80% des femmes qui prennent votre numéro dans la rue, mais ne vous donnent pas le leur, ne vous rappelleront pas).
Finalement, elle m’a recontacté le soir même, nous avons pris un verre ensemble après son travail quelques jours plus tard, et elle est venue directement chez moi lors de notre deuxième rencontre.
Inversement, de très nombreuses femmes qui me paraissaient très ouvertes ne l’étaient finalement pas du tout, ou n’ont jamais donné suite.
Là où je veux en venir, c’est qu’en séduction, rien n’est prévisible à l’avance.
Faites, et voyez ce que ça donne.
Fausse croyance 3 : je ne sais pas si elle me plait.
Là encore, c’est une excuse que vous vous donnez pour éviter de passer à l’action.
Si vous l’avez remarquée, c’est que nécessairement il y a un petit quelque chose chez elle qui vous intrigue.
En prenant un peu de recul, cela vaut-il le coup de louper une éventuelle opportunité juste parce que vous ne « savez pas » si elle vous plait ?
Allez à sa rencontre, et si vraiment elle ne vous plaît pas, rien ne vous oblige à donner suite.
Fausse croyance 4 : je ne sais pas quoi lui dire.
Si vous suivez mes conseils et que vous pratiquez l’approche directe, vous ne pouvez tout simplement PAS ne pas savoir quoi dire.
L’essence même de l’approche directe, dans sa définition, consiste en une séduction simple et assumée.
Il n’y a pas de phrases d’approches, il n’y a pas de « transition », il n’y a pas de « technique » pour prendre son numéro.
Il y a juste un homme, qui souhaite faire une belle rencontre.
Vous ne savez pas quoi lui dire ? Dites lui simplement :
« Je ne sais pas trop quoi te dire, mais je te trouve élégante. »
Fausse croyance 5 : Il y a trop de monde autour, j’ai peur de me faire remarquer.
A moins que vous ne viviez dans une très petite ville ou un village (ou dans un autre contexte fermé très particulier, comme en entreprise par exemple), auquel cas cette excuse pourrait éventuellement être valable, la très grande majorité des personnes autour (qui au passage ne vous connaissent ni d’Ève ni d’Adam) ne fera pas attention à vous.
Et quand bien même quelques curieux auraient remarqué que vous faîtes quelque chose d’inhabituel, ils vont auront oublié tout aussi vite.
Là encore, c’est juste une excuse.
Fausse croyance 6 : Je ne suis pas assez beau, ni assez bien habillé
Cette excuse est selon moi la plus révélatrice.
La première, c’est que vous vous dévalorisez, et vous tirez une balle dans le pied. Si vous voulez être capables de séduire les femmes qui vous plaisent, il est nécessaire que dans un premier temps, vous soyez capables de vous séduire vous-même. Prenez le temps de déterminer vos qualités, et faîtes en sorte de mettre en avant vos forces et non vos faiblesses.
La seconde, c’est que vous avez conscience que quelque chose ne vous convient pas (par exemple, votre style) mais que vous n’avez pas encore fait le nécessaire pour changer ça.
N’oubliez pas qu’il n’y a pas de séduction naturelle sans développement personnel.
Le travail sur votre style de vie est une condition indispensable à votre futur succès en séduction.
Quelle que soit votre estime de vous-même, sachez qu’il y a TOUJOURS une marge de progression possible.
Acceptez les choses que vous ne pouvez pas changer. Changez les choses que vous ne pouvez pas accepter.
Vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Votre ami.